À propos du journal STOP ! Le Paris débranché
Marre de vivre dans une métropole survoltée et étouffante ?
Point positif : si vous ressentez cela, c’est que vous n’avez pas encore totalement abdiqué votre côté humain pour vous fondre dans les cohortes de zombies électro-trottinettisés au cerveau piloté par smartphone.
Malgré les absurdes confinements pendant lesquels vous avez inlassablement tourné en rond dans votre étroit logement comme un poisson rouge dans son bocal, vous n'avez pas pu - ou voulu - fuir la grande ville et vous dénicher un douillet refuge au vert.
Qu'à cela ne tienne, tout n'est pas perdu. Comment ? En commençant pas dire « STOP ! » à la folie du toujours plus, toujours plus vite, toujours plus fort, en y opposant des alternatives dignes et conviviales.
Appelez-ça comme vous voudrez : ralentissement, sobriété, frugalité, simplicité (plus ou moins) volontaire, décroissance. Pour nous, il s'agit avant tout d'une « décroyance » vis-à-vis d'un système de prêt-à-ne-pas-penser qui nous veut uniquement consommateurs moutonniers et lobotomisés. Dissidents de l'intérieur, ce journal est le vôtre !
STOP ! Le Paris débranché est vendu dans les kiosques et chez les marchands de journaux de toute l'Île-de-France (départements 75, 92, 93 et 94, 91, 95, 78, 77) au prix de 3 €.
Il est également disponible sur abonnement dans la France entière en Belgique et en Suisse.
Livres
Pascal Halary, La tyrannie, ça suffit ! La décroissance au secours de la liberté.
Bookelis, 2023 (240 pages)
Prix : 17 €
« La décroissance est un sport de combat. » Telle pourrait être la maxime de l'auteur de ce livre, citoyen engagé dans la défense d'un projet de société sobre et humaine. Dans un récit enlevé et volontiers caustique écrit à la première personne, Pascal Halary remonte le fil des cinquante dernières années pour expliquer comment, petit à petit, une véritable tyrannie a fait son nid dans nos existences. Tyrannie qui a débouché sur un implacable totalitarisme à la faveur d'un virus sans grande gravité débarqué de Chine en début d'année 2020. L'idéologie mortifère qui a pris racine depuis est porteuse d'un antihumanisme radical. En ce sens, la décroissance est son exact opposé et son antidote.
Riche d'anecdotes vécues, l'ouvrage témoigne des beaux combats fraternels que cette tyrannie a fait naître. Et comme « expliquer c'est déjà résister », Pascal Halary y convoque également les plus grands penseurs de la vie bonne, dernières balises dans la tempête déchaînée de ces temps mauvais.
« Nous ne saurions trop vous recommander son récit, qui intéressera particulièrement les militants les plus impliqués, mais pas seulement. » Vincent Cheynet, La Décroissance, novembre 2023
Homo pavor est l’Homme nouveau né de la société terroriste marchande. Effrayé à l’idée que sa boulimie de consommation soit entravée, il accepte sans broncher toutes les mesures le privant d’une liberté dont il n’a que faire. Pire, il en redemande et réclame qu’on raccourcisse encore un peu plus la laisse par laquelle on le tient et qu’on serre davantage le collier qui l’étrangle. Avec pour seul horizon désirable, celui de former une unité du décompte des « jauges » décrétées par le pouvoir pour cause d’épidémie de grippe, de risque terroriste ou de Jeux olympiques.
Tous identiques dans la jauge ? « Pas si vite ! objecte Homo pavor, mon code QR, euh ! mon tatouage, ne ressemble absolument pas au vôtre ! »
« La plume est généreuse, et le ton, satirique, l’auteur ayant le sens de la formule qui fait mouche, émaillant son texte d’anectodes personnelles, le tout rendant la lecture agréable […] Militant, il appelle à la "sécession punk" : non pas refuser tout futur, mais le futur que cherche à nous imposer l’oligarchie […] On vous le dit, Pascal Halary ne prend jamais de gants ! »
Bernard Legros,
Kairos, septembre-octobre 2024
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STOP ! Le Paris débranché n’est pas un journal « alternatif » mais une publication dissidente et hérétique d’une société marchande qui engloutit inéluctablement tout ce qui reste d’humain en nous. Même si le système organise l’invisibilisation des opinions adverses, nous diffusons nos messages au cœur même de celui-ci à travers notre présence dans les kiosques et les marchands de journaux de la région parisienne. Critiques radicaux de l’aliénation et de la domestication des masses par le numérique, nous refusons de figurer sur les réseaux (a)sociaux. Héritier des samizdats du régime soviétique auquel nos « démocraties » de marché autoritaires ressemblent chaque jour un peu plus, notre journal ne possède ni courriel, ni téléphone.